Lorsque les dépenses de santé augmentent en fin de vie, le système français mixte de protection sociale (assurance maladie obligatoire et complémentaire) protège le patient et ses proches d’un reste à charge catastrophique. Telle est une des conclusions de l’étude sur les dépenses de soins en fin de vie présentée par Rosalind Bell-Aldeghi aux 41èmes Journées des Économistes de la Santé Français (JESF) qui auront lieu du 5 au 6 décembre 2019 à Poitiers. Voir la page axe « Économie de la santé ».